Community Manager Freelance : le GUIDE pour se lancer !

guide community manager freelance

Table des matières

On a plusieurs fois l’occasion de choisir un métier aujourd’hui. Tu es peut-être dans ce cas, au moment où tu attaques la lecture de cet article ? Je connais cette situation également. OK, community manager : pourquoi pas ? Mais freelance : à quoi cela correspond ? Je me suis posé des tas de questions avant de franchir le cap. Et je peux te dire que ce fut l’une de mes meilleures décisions ! Pour que tu disposes des  infos 100 % utiles, je t’ai préparé un véritable mode d’emploi du community manager freelance pour démarrer ton activité. Je ne te cache pas que c’est un peu long, mais tu as ici un véritable guide, se déclinant en 30 questions très courantes. Car, le but : c’est d’en vivre, non ?

➥ Avant de démarrer, je me présente 😊 :

1 – Community manager freelance : qui es-tu ?

Le community manager est devenu un métier clé dans n’importe quelle organisation. Il dispose d’un rôle d’interface entre la marque qu’il représente, et les clients actifs sur les réseaux sociaux. Sa fonction dans l’entreprise s’est développée autour des missions telles que :

  • La gestion et l’animation des communautés sur les réseaux ;
  • Le suivi technique des comptes Facebook, Instagram, Tik Tok, etc. ;
  • La modération des commentaires sur les plateformes ;
  • La veille concurrentielle.

Aujourd’hui, les réseaux sociaux constituent un levier puissant d’acquisition de nouveaux clients pour les entreprises, et ce, dans n’importe quel domaine. Face à cet enjeu de taille, le rôle du community manager s’est encore développé, autour de missions toujours plus stratégiques :

  • Élaboration d’un plan social media ;
  • Structuration du planning éditorial des publications ;
  • Participation à la gestion de crise, sur le volet e-réputation ;
  • Définition et suivi des indicateurs clés de performance (KPI’s).

Bon, et le côté freelance dans tout ça ? Eh bien, les CM ont des missions assez similaires, mais il faut ajouter des aspects bien plus développés qu’en salariat, tels que :

  • Le rôle de consultant auprès du client ;
  • Le volet commercial et social selling ;
  • La posture entrepreneuriale.

Nombreux sont les CM qui exercent en freelance et on les comprend. Les missions sont plus complètes que celles exercées en entreprise, ou en agence. Contrairement au CM salarié, le freelance est une équipe à lui seul, du moins pour la partie très stratégique. 

L’ASTUCE DES PROS !  

Même si tu exerces en tant que community manager indépendant, il existe des solutions pour déléguer facilement une partie de ton activité, tout en étant sous le statut d’auto-entrepreneur. Les réponses dans la suite de l’article.

À LIRE AUSSI : Toute la vérité sur le métier de community manager !

2 – Comment s’appelle le community manager ?

les metiers du social media

Attention spoiler ! Tu vas voir passer un tas d’articles débattant sur la terminologie utilisée dans le milieu du digital. Au-delà de community manager, tu peux croiser les termes de :

  • Social Media Manager ;
  • Consultant Social Media ;
  • Coach réseaux sociaux.

Quelques explications pour y voir plus clair. Historiquement, c’est bien le métier de community manager qui est apparu en premier, en 2009. Le rôle des réseaux sociaux étant à forte valeur ajoutée pour le business, les entreprises ont progressivement éclaté la responsabilité de leur gestion sur une équipe plutôt qu’une personne.

Le Social Media Manager est souvent chargé de projet en entreprise, exerçant en N+1 envers le CM. C’est la raison pour laquelle les community managers salariés sont associés à des tâches d’exécutant, de gestion du quotidien.

Le consultant Social Media est souvent travailleur indépendant. Il a l’avantage de mettre en avant le rôle de conseil pour le client. Il faut savoir que les métiers liés aux réseaux sociaux sont récents. Ils ne sont pas réglementés, ce qui signifie qu’un community manager peut tout à fait s’appeler consultant social media en tant que freelance, si c’est le titre qu’il choisit.

Le coach réseaux sociaux est un professionnel qui a souvent été CM à la base, et qui a développé une activité de coaching à l’attention des clients qui souhaitent gérer eux-mêmes leurs réseaux sociaux.

Voilà, tu as les repères nécessaires. Retiens bien le fait que les différentes appellations sont surtout utilisées dans le salariat. Le terme de community manager reste très représentatif de la profession, surtout en freelance.

À RETENIR pour lancer ton activité !

Le community manager est connu des clients, alors pourquoi changer de terme ? On voit rarement un client à la recherche d’un social media manager. Le vocabulaire s’est étoffé pour répondre à des besoins en entreprise.

3 – Qui peut devenir community manager freelance ?

Tu penses à devenir CM freelance tous les matins en te brossant les dents, mais tu te demandes si ce n’est pas une folie ? Le doute s’installe : seras-tu à la hauteur pour gérer ? Sans compter sur le fait qu’il faut trouver des clients pour vivre de son activité…

Laisse-moi t’aider dans ton choix. D’après mon expérience dans le domaine, je vois beaucoup de personnes qui franchissent le pas de la reconversion professionnelle, et ça leur réussit bien. Pour quelles raisons ? Les CM freelances de ce type disposent d’une expérience professionnelle qui va leur rendre bien des services pour se lancer.

Ces personnes comprennent plus facilement les besoins des entrepreneurs et disposent de soft skills très appréciables en prospection et en suivi de la relation client. Elles ont par ailleurs un « pourquoi » très fort, qui les mène sur une autre voie pro : un vrai plus pour entreprendre et dépasser les premiers obstacles. 

Les plus jeunes font aussi de très bons CM freelances. La génération Z, née au début des années 2000, est la première génération de digital natives. Ils font partie du monde numérique, et ils en dictent les codes (surtout sur les réseaux sociaux).

Ils sont donc de très bons candidats aux métiers du Web. Mais ils sont également nombreux à développer une activité en freelance. Beaucoup plus orientés vers le présent, ces jeunes ne sont pas dans l’attente d’un CDI pour toute la vie. Leur dynamique les pousse naturellement aux chemins de l’indépendance.

4 – Quelles qualités pour devenir community manager freelance ?

les qualités du freelances
La base du Community Manager :

Le sens de l’organisation ;
La créativité dans les contenus ;
La précision dans la veille et le sourcing ;
Des qualités rédactionnelles ;
La résolution de problème ;
La sociabilité et la diplomatie.

Tu peux en trouver plein d’autres, mais celles-ci sont utilisées chaque jour de travail. L’organisation va au-delà de la planification des posts. Le métier de CM demande souvent d’être multi-tâches à différents moments de la journée et de switcher facilement.

Ensuite, la partie entrepreneuriale amène son lot de qualités personnelles et professionnelles. L’envie d’entreprendre ne se décrète pas. Elle ne vient pas non plus du jour au lendemain. À travers mon expérience, je vois chez les entrepreneurs un certain nombre de points communs :

  • L’envie d’apporter une solution à un problème : le profil entrepreneurial va détecter un besoin dans son environnement et chercher à y répondre en construisant une solution. C’est ce que l’on appelle l’offre au client.
  • La juste remise en question : savoir mettre en pratique au quotidien le bon dosage entre le renouvellement permanent et l’adaptation d’une stratégie qui ne fonctionne pas. Les indicateurs et les mesures aident, mais la décision revient quand même à celui qui entreprend.
  • La capacité à se prendre en main : l’entrepreneur a un besoin d’autonomie. Il a d’ailleurs souvent eu ce besoin bien avant de lancer son activité. Il ne se reconnaît pas forcément dans les processus établis et les remet en question.
  • La recherche de valeur ajoutée : l’entrepreneur est en quête de résultats. Puisque son activité est jugée pertinente, elle doit apporter une augmentation de valeur.

5 – Community manager : freelance ou salarié ?

Je peux comprendre que tu te poses la question. Freelancing et salariat sont comme deux versions différentes du métier de CM. C’est vraiment à toi de définir ton besoin. Pour t’aider à faire ton choix, j’ai construit ce guide des arguments.

Devenir community manager au sein d’une entreprise ou d’une agence est une option prise par la majorité des professionnels, ce qui peut se comprendre via ces arguments :

  • Une sécurité de l’emploi (surtout en CDI) ;
  • Un sentiment d’appartenance à l’entreprise ;
  • Un rôle et des attendus bien définis ;
  • Faire partie d’une équipe ;
  • Le choix du secteur d’activité.

Idéal, n’est-ce pas ? Maintenant, examinons les arguments en faveur du community manager, version freelance. Devine quoi ? L’ensemble des points positifs du salariat existe aussi chez le freelance, et ils sont même décuplés ! 

Ta sécurité professionnelle est encore plus forte puisque tu disposes de plusieurs employeurs. Si ça ne se passe pas bien avec un client : prospecte un autre client. Le rôle est parfois encore mieux défini pour les freelances, du fait d’une chaîne hiérarchique simple. 

Tu pensais être seul en freelance ? C’est loin d’être le cas. En réalité, tu as l’avantage d’appartenir à plusieurs équipes, sans les inconvénients des réunions et mails interminables.

6 – Quels sont les statuts possibles du CM indépendant ?

les statuts du community manager indépendant

SARL, EURL, SESU, SAS ? Tous ces statuts n’offrent pas autant de souplesse que celui de micro-entrepreneur. On dit souvent du community manager indépendant qu’il est freelance. Cela signifie qu’il est entrepreneur et autonome dans la gestion de ses clients.

Sincèrement, la plupart des CM qui veulent se lancer à leur compte utilisent le statut d’auto-entrepreneur. Si tu souhaites des renseignements exhaustifs, le plus simple est de consulter le portail auto-entrepreneur de l’URSSAF. Tu découvriras tout ce qu’il faut savoir.

C’est un statut clé en main qui te donne bien des avantages au quotidien :

  • Les formalités pour créer ton entreprise sont très simples ;
  • Quasiment pas de comptabilité à faire (sauf établir tes factures bien entendu) ;
  • Un suivi très facile à réaliser ;
  • Un assujettissement à la TVA uniquement à partir de 32 000 € de chiffre d’affaires.

En revanche, sache que tu ne pourras pas déduire tes charges de fonctionnement (abonnements, téléphone, ordinateur). 

7 – Quelles formalités administratives pour démarrer en freelance ?

Entrons dans le vif du sujet pour démarrer concrètement ton activité de CM, en partant de zéro. Première étape : immatriculer ton activité professionnelle. Si tu optes pour le statut d’auto-entrepreneur, tu as une seule demande, sur le site de l’URSSAF. 

En tant que community manager, ton activité appartient au registre des prestations de services. Tes cotisations sociales et tes futurs impôts sur le revenu seront basés sur les critères des Bénéfices Non Commerciaux (BNC).

Une fois que tu as déposé ta demande d’immatriculation sur le site, tu recevras sous une semaine ton N° SIRET par courrier. Je te conseille de conserver précieusement ce courrier, car aucun duplicata n’est possible. Tu peux sécuriser en le scannant, pour garder une trace numérique.

Tu peux exercer dès que tu as obtenu ton numéro : tu es en règle. C’est parti pour l’aventure ! Bien entendu, rien ne t’empêche de t’exercer avant, à titre gratuit, en bénévolat. Aider un ami ou un proche sur la gestion de ses réseaux sociaux peut te permettre d’essayer le job avant de te lancer pleinement. C’est aussi un bon moyen de construire son réseau pro.

Les astuces à connaître pour réduire tes charges au début :

Parce que certains le découvrent trop tardivement, voici 3 astuces incontournables à connaître avant de démarrer :

1. Certaines conditions (âge, demandeur d’emploi, etc.) permettent d’être exonéré des cotisations sociales pendant la première année d’activité : ça s’appelle l’ACRE, et tu dois demander cette aide au moment de ton immatriculation.


2. En tant que demandeur d’emploi, tu peux disposer d’un cumul entre tes revenus générés et tes indemnités au chômage : les infos sur le site de l’Unedic (au bon endroit).


3. Quand tu feras ta première démarche en ligne, tu peux opter (selon conditions) pour le versement libératoire de l’impôt sur le revenu afin de bénéficier d’un taux d’imposition plus avantageux.

Beaucoup de pros passent à côté !

8 – Faut-il être diplômé pour devenir CM ?

les diplômes en community management

Vaste question au premier abord ! Mais la réponse est pourtant très simple : 

  • Se former au community manager : oui ;
  • Être diplômé en community management : pas nécessairement.

Alors, je vais être très clair sur le sujet de la formation : aucun client ne va te demander de présenter tes diplômes quand tu travailles en tant que freelance. Un CM apporte de la valeur ajoutée au business de son client avec son expertise sur les réseaux sociaux, bien entendu. Mais il existe aujourd’hui 1001 façons de se former sans passer obligatoirement par la case école ou centre de formation.

Si tu veux le point complet sur les formations de community manager (BTS, Licences, Masters, etc.), tu peux lire : Devenir community  manager : avec ou sans diplôme ?

En résumé, il y a aujourd’hui 3 façons d’apprendre le métier de CM :

  • Le parcours scolaire classique ;
  • Le e-learning ;
  • Les ressources numériques.

La connaissance est aujourd’hui à portée de clic. Sur Internet, tu peux avoir accès aux plus grands spécialistes et aux experts très simplement. Les contenus pédagogiques en ligne sont un très bon moyen d’obtenir des connaissances actualisées. Dans l’univers des réseaux sociaux qui bougent très vite, c’est indispensable. 

En tant que freelance, je te conseille vivement d’apprendre des autres entrepreneurs. Ils ont l’avantage d’être passés par le même chemin que toi. Ils peuvent mettre à ta disposition un retour d’expérience qui te fera gagner du temps pour démarrer ton activité, et contourner les erreurs. Ils ont un business à faire tourner, donc ils vont à l’essentiel. Un enseignant d’une école (aussi prestigieuse soit-elle) n’est parfois jamais sorti de sa bulle pédagogique, à l’exception de quelques stages. 

Une vidéo pour poursuivre : peut-on devenir CM en autodidacte ?

9 – Quelles compétences acquérir en community management ?

Connaître les réseaux sociaux : la base du community manager ! Mais que faut-il connaître exactement ? Évite absolument les cours « catalogue », faisant un état des lieux complet des tout ce qui existe au niveau des plateformes, en te donnant quelques chiffres clés. C’est très général, tu n’en feras pas grand-chose.

Même si cela te paraît contre-intuitif, il vaut mieux se mettre à fond sur un réseau que tu apprécies, afin de connaître ses fonctionnalités dans ses moindres détails. Je vois 2 gros avantages à cette façon de faire (que j’ai moi-même appliquée !) :

  • Tes compétences seront plus solides ;
  • Ton offre auprès de tes clients sera « béton » !

Nous reviendrons sur ce point quand on verra ensemble comment proposer tes services. Mais il y a d’autres compétences à acquérir pour bien développer la notoriété de tes clients sur les réseaux. 

Un réseau social est un outil, donc tu dois le connaître techniquement. Mais ce sont les contenus produits qui feront la différence. Comment fédérer autour de la marque de ton client ? C’est ça, la clé ultime à piger ! Et ça passe par différentes compétences.

Si je devais résumer, je dirais :

  • Un peu de communication, pour maîtriser l’art du message audiovisuel ;
  • Une bonne dose de marketing digital, car le CM fait partie de la boucle ;
  • Une pincée de psychologie, pour le comportement des internautes et leur motivation ;
  • Du storytelling, pour bien raconter les histoires ;
  • Un soupçon de copywriting, pour rédiger des posts qui impactent l’audience ;
  • Juste ce qu’il faut en stats, pour suivre tes indicateurs :
  • De la technique vidéo : le contenu roi des réseaux aujourd’hui.

10 – Y a-t-il des connaissances spécifiques au freelance ?

les connaissances sur les réseaux sociaux

Oui ! En tant que community manager freelance, tu as un rôle très spécifique auprès de ton client. Alors, bien entendu, un CM salarié peut également être seul à exercer ce métier dans sa boîte. Mais il sera reconnu comme étant expert des réseaux sociaux. 

De ton côté, tu auras plutôt le rôle de consultant. Tu as l’avantage de ne pas être dedans, mais à côté de l’entreprise. Et tu as ce positionnement auprès d’autres clients, ce qui te confère un certain recul. 

Progressivement, tu vas affiner tes connaissances en stratégie sur les réseaux sociaux : marketing digital dans son ensemble, mais également marketing d’influence, réalisation de campagnes publicitaires, etc.

La vente est un autre domaine à connaître en tant que freelance : pour les clients et pour toi-même. Les clients avec lesquels tu vas travailler vont faire appel à toi pour développer leur visibilité sur les réseaux, dans le but d’acquérir plus de clients. 

C’est important que tu puisses comprendre le tunnel d’acquisition clients afin de générer des leads qualifiés pour ton client. Ces compétences sont nécessaires pour vivre de ton activité. Toi aussi, tu seras dans la position de prospecter, définir une offre, pour aboutir à des contrats avec des clients.

Je ne te cache pas que c’est une partie sous-estimée du métier de CM freelance, voire de n’importe quel freelance, en fait. 

Pourquoi ce blog dédié aux CM freelances ?

Apporter de la connaissance et des façons de faire pour vivre de son activité freelance sont possibles, à condition d’appliquer une méthode qui fonctionne. Ici, on est dans une vision pragmatique, afin que tu obtiennes des résultats. 

11 – Comment dépasser ses freins pour se lancer en CM freelance?

On ne va pas se mentir : qui aime mettre les deux pieds dans l’inconnu, sans garantie de résultat ? Personne. C’est probablement l’image que tu as en pensant à lancer ton activité. Tu as envie de décoller, mais la pédale de frein devient incontrôlable : la peur s’installe.

Ressentir de la peur n’est pas un problème, c’est même complètement normal. C’est gênant si elle t’empêche d’agir. Les nouveaux projets sont perçus par notre cerveau comme des ennemis à combattre, car ils nous font sortir de notre zone de confort. La seule chose à faire, c’est de ne pas être trop attentif à ces signaux : c’est une réaction classique face au stress que provoque la nouveauté. 

Bon, ça y est, ta décision est prise : tu as toutes les infos, tu t’es formé, mais tu procrastines. On a tous connu ça un jour. Tu peux en parler, chercher les causes profondes, mais cela t’accable encore plus : c’est le cercle vicieux. 

Phénomène très intéressant : on pense à tort qu’il faut beaucoup de motivation pour se jeter à l’eau. C’est plutôt l’inverse : la motivation vient en faisant. Ce qu’il faut au départ : un coup de pouce, qui vient souvent de l’extérieur d’ailleurs.

Le coup de pouce, c’est peut-être un proche qui va te dire « vas-y, fonce : t’as rien à perdre ! ». Accroche-toi à la phrase qui t’a touchée au départ. Ça aide à faire le premier pas, que l’on ne ferait pas forcément pour soi. Nous sommes des êtres sociaux : tu le sais en tant que CM.

On entend beaucoup de choses aujourd’hui sur le syndrome de l’imposteur. À vrai dire, je ne sais pas si cela existe, mais je sais que la meilleure façon de prendre confiance en soi passe aussi par l’action. Un premier client satisfait de ton travail et tu te sentiras vraiment community manager. Il est temps de s’y mettre, non ?

12 – Community manager freelance : par où commencer ?

débuter en tant que freelance

Alors justement, comment on s’y met ? C’est le moment où tu n’as pas encore une grande confiance en toi, mais tu peux avoir en tête ces quelques éléments : 

  • Le métier de community manager est récent ;
  • Il est en plein essor et les besoins sont immenses.

Le marché est loin d’être saturé et il est stable dans le temps : les clients qui font appel à un CM ne le font plus en mode « one shot » : ils savent à quel point les réseaux sociaux sont devenus un vecteur stratégique.

Quand tu penses au fait que l’ensemble des entreprises, des institutions et des organisations a déjà, ou devrait avoir des pages sur les réseaux sociaux, tu as tout intérêt à avoir une bonne boussole pour te repérer.

Et ta boussole, c’est ta cible. Raisonnablement, tu ne pourras pas courir tous les lièvres à la fois. Tu risques de te perdre toi-même, et tu ne seras pas efficace pour trouver des clients. Attaque par un bout de la lorgnette.

Trouve le type de client avec lequel tu souhaites travailler. Pour cela, tu peux utiliser tes connaissances, c’est-à-dire des savoirs annexes qui ne sont pas professionnels, mais qui correspondent à un centre d’intérêt chez toi : le sport, la pâtisserie, la musique, etc.

Si tu n’as pas envie de lier tes passions et ton métier, tu peux aussi utiliser tes expériences professionnelles passées, par exemple. Si tu es en reconversion professionnelle et que tu disposes d’une expérience significative dans le domaine logistique, tu peux t’intéresser au community management des sociétés de transport.

Le but est d’orienter par la suite ta prospection vers une niche que tu comprends : tu connais leurs problématiques et tu seras plus à l’aise pour leur apporter des solutions.  

13 – Comment trouver ses premiers clients en partant de zéro ?

La meilleure façon de trouver rapidement des clients en tant que freelance consiste à s’adresser aux bonnes cibles. Les clients idéaux des freelances correspondent à des entrepreneurs, de type TPE ou PME.

On les situe dans 3 grandes catégories d’activité :

  • Les commerces physiques (pâtisseries, restaurants, salles de sport, etc.) ;
  • Les e-commerces (en BtoB ou BtoC) ;
  • Les formateurs et coachs en ligne.

À LIRE AUSSI : Qui a besoin d’un Community Manager Freelance ? 

Tu peux utiliser cette typologie de client pour définir ta niche. Mais ce n’est pas tout : certaines données sont très importantes à avoir en tête afin d’éviter les clients difficiles.

LES 3 TYPES DE CLIENTS à éviter !

1. L’entrepreneur qui n’est pas prêt à déléguer une partie de son activité (pour raisons financières ou psychologiques) ;
2. Le client qui ne comprend pas l’intérêt des réseaux sociaux pour augmenter son business ;
3. La personne avec laquelle tu ne t’entend pas.

En résumé :

  • Ne cherche pas à convaincre ;
  • Privilégie les personnes avec lesquelles ça matche, car vous allez travailler ensemble ;
  • Si le prospect se pose énormément de questions et tergiverse beaucoup avant de prendre une décision : c’est qu’il n’est pas prêt.

14 – Comment démarrer en tant que freelance ?

Débuter en tant que freelance n’est pas forcément plus compliqué que dans un autre type de job. Prends l’exemple d’un petit nouveau dans une boîte : il va chercher à connaître son nouvel environnement de travail et à se faire connaître de cet environnement.

Pour le freelance, c’est la même chose. Pour cela, tu peux compter sur 2 leviers très complémentaires :

  • L’inbound marketing ;
  • L’outbound marketing.

En inbound marketing, tu vas chercher à développer ta visibilité afin d’attirer les autres vers toi. Ça passe par le fait de créer un profil professionnel sur les réseaux sociaux, poster du contenu qui parle aux prospects. Si, en plus, tu as défini ta cible, tu peux développer le réseau sur lequel tes prospects se trouvent le plus : ça peut être Instagram, Facebook, ou encore Linkedin.

L’outbound marketing est un ensemble de méthodes pour prospecter. Ta cible bien définie te fera gagner du temps : tu seras en mesure de prospecter via des moyens adaptés. Cela peut être la rencontre physique pour les commerces en ville, ou les mails pour les e-commerces, par exemple.

15 – Trouver facilement des missions de freelance : est-ce possible ?

Trouver facilement des missions : qu’est-ce que cela veut dire exactement dans ce cadre ? Je pense que l’on cherche tous à générer peu d’efforts pour beaucoup de résultats ! Prenons l’exemple des plateformes de freelances de type Malt ou 5euros.com : cela semble effectivement rapide. L’inscription se passe en quelques minutes, et ton profil est visible par des milliers d’entreprises.

Pourquoi pas : on peut trouver des clients ainsi. Le hic, c’est que les missions peuvent être de courte durée, ce qui génère un turn-over important de ta clientèle. Donc quel est le bénéfice réel obtenu ?

Attention, tu peux tout à fait t’inscrire sur ce type de plateforme si cela te convient. Mais évalue le coût à moyen terme de ta stratégie. Personnellement, je préfère collaborer avec des clients sur le long terme.

16 – Prospecter des clients : comment faire ?

prospecter des clients

Ah la prospection ! C’est la bête noire de nombreux freelances. C’est toujours dommage de voir des CM hyper pros  au niveau technique, mais incapable d’obtenir des résultats en démarchage client. C’est bien dommage.

Mon premier conseil serait de se lancer, sans attendre. C’est comme les personnes qui passent leur permis de conduire, et qui ne conduisent jamais : elles perdent confiance et finissent par perdre leurs compétences au volant.

Le deuxième conseil est le suivant : quand tu prospectes, adopte l’attitude que tu souhaiterais voir si l’on te démarchait. Tu n’as certainement pas envie de recevoir un e-mail qui sent le copier-coller à plein nez, distribué à des centaines de boîtes.

Les 3 secrets pour prospecter et obtenir des résultats !

1. Adresse-toi aux personnes qui ont un besoin sur les réseaux sociaux ;
2. Intéresse-toi au prospect en communiquant sur lui, pas sur toi ;
3. Cible une problématique et apporte la solution.

17 – Comment vendre ses prestations à ses clients ?

Les plateformes et les agences regorgent de tarifs graduels, déclinés sous forme de packs de publications. Ça semble pro, car les packs font état d’un nombre très précis de posts sur les réseaux sociaux. 

On ajoute à cela en général des prestations annexes, pour la modération, par exemple. C’est stratégique, car cela permet de proposer un produit d’appel pour démarrer avec un client. Mais c’est une erreur monumentale en tant que freelance. 

L’erreur à éviter absolument pour le CM Freelance !

Ne fixe pas de tarif de type Pack de publication ! En faisant ça, tu agis comme si le résultat de ton client dépendait du nombre de posts publiés. Or :
Tu sais que c’est archi faux ;
Qui peut le plus, peut le moins : ton client risque de négocier toujours à la baisse.

➜ LA SOLUTION : L’OFFRE UNIQUE pour tes clients.

Tu dois positionner ton prix comme une solution répondant à la problématique de ton client. Clairement, il n’a pas besoin de savoir quel est ton taux journalier moyen. Ton professionnalisme en vente passe par le fait de faciliter la vie de ton client, donc ne le noie pas sous des flux d’informations qui ne sont pas nécessaires.

18 – Combien gagne un community manager freelance ?

Tu vas voir beaucoup de chiffres passer sur Internet à ce sujet ! C’est normal : le sujet intéresse, et c’est important de savoir à quoi on peut prétendre lorsque l’on débute.

Si on prend les chiffres médians : Malt estime le tarif journalier moyen du CM à 402 €. Mais en réalité, cela ne te donne pas vraiment d’infos. Le TJM (taux journalier moyen) est souvent utilisé sur les plateformes, mais cela ne signifie pas que tu vas rentrer cette somme chaque jour travaillé. 

LA MEILLEURE MÉTHODE pour calculer ton revenu :

1. Définis ton objectif de chiffre d’affaires (mensuel ou annuel) ;
2. Retire tes charges (compte large : 30 %) pour obtenir ton revenu net ;
3. Calcule combien de clients tu peux gérer ;
4. Divise ton CA par le volume client.

Et voilà : tu as ton business plan ! Tu sais combien de clients il te faut, et quel tarif proposer. Cette base est évolutive. Plus tu seras expérimenté, plus tu vendras cher. Tu pourras réduire ton volume clients ou déléguer, par exemple. 

19 – Comment gérer sa comptabilité en tant que freelance ?

Gérer sa compta en tant que freelance : ce n’est pas compliqué. Il faut juste prendre de bonnes habitudes dès le départ. En tant qu’auto-entrepreneur, tu devras déclarer ton chiffre d’affaires sur le portail de l’URSSAF à chaque fin de trimestre. 

La déclaration donne lieu dans la foulée au calcul des charges dont tu dois t’acquitter. Tu peux régler ce montant directement dans ton espace personnel. 

Tu as bien pris connaissance des astuces pour payer moins de charges, selon ta situation ? Pour la piqûre de rappel : RDV à la question N° 7 !

Au quotidien, je te conseille de bien organiser ta compta dans ton ordi, avec des outils très simples :

  • Crée un dossier par client ;
  • Réalise un suivi de facturation avec un tableau Excel.
AnnéeMoisClientFactureAcquittéeCACharges

TVA ou pas en tant que CM freelance ?

Pour info, tu es éxonéré de TVA dans la limite d’un chiffre d’affaires de 36 500 € de prestations de services.
Dans ce cas, tes factures doivent disposer des termes suivants : « TVA non applicable, art. 293 B du CGI ».

Source : impots.gouv.fr

20 – Faut-il se spécialiser en tant que community manager indépendant ?

community managers spécialisés

Il y a deux façons de voir la spécialisation pour le community manager :

  • La spécialisation sur un réseau social ;
  • Le métier à l’attention d’une clientèle cible.

Se spécialiser sur un réseau social peut être une bonne solution au démarrage. Les plateformes évoluent très rapidement, et il est difficile d’être pointu sur l’ensemble des réseaux. Commence avec la plateforme qui te plaît, et définis ton offre autour de celle-ci. Il existe beaucoup de solutions pour republier ton contenu sur les autres médias.

Je te conseille également de te spécialiser auprès d’un type de client : tes connaissances te donneront une longueur d’avance pour comprendre les besoins de tes clients, et cela te fera gagner du temps au quotidien.

À LIRE AUSSI : Community Manager Spécialisé, 3 conseils pour sortir du lot.

21 – Comment développer son activité de CM freelance ?

Pour de nombreux débutants, trouver ses premiers clients est le plus difficile. C’est l’inconnu pour beaucoup d’entre eux, qu’ils soient tout juste sortis de formation ou en reconversion professionnelle.

Le développement de l’activité se fait assez rapidement dans la plupart des cas, pour les CM ayant mis en place la bonne stratégie pour vivre de leur activité. Certains facteurs insoupçonnés sont pourtant très puissants.

Au-delà d’une bonne stratégie sur tes réseaux sociaux, prends le temps de demander à tes clients un témoignage, que tu pourras publier. On ne fait pas mieux que la preuve sociale pour inspirer confiance à un prospect.

Tu es dans la rue et tu cherches un restau pour dîner. Tu passes devant un premier établissement : pas un client à table, une télé qui hurle au fond de la pièce, histoire de meubler. Puis tu continues ton chemin : devant toi, une petite brasserie, blindée de monde, ça rigole, les gens ont l’air de passer un bon moment. À ton avis, quel sera ton choix ?

C’est le cercle vertueux : notre instinct grégaire nous mène vers la foule. Il en est de même sur les réseaux sociaux. Tu le sais mieux que quiconque 😊.

22 – Avec quels professionnels le CM travaille-t-il ?

Ce n’est pas parce que tu es freelance que tu es condamné à la solitude au quotidien. Les réseaux sociaux sont devenus une affaire d’équipe, avec leur montée en puissance. En gestion des publications au quotidien, le monteur vidéo est devenu incontournable.

À moins d’être expert en la matière, les formats reels sur Instagram, ou sur Tik Tok doivent être très qualitatifs pour se démarquer. En tant que community manager freelance, c’est à toi de voir avec le client : certains ont déjà un monteur vidéo. Sinon, tu peux leur conseiller une personne avec laquelle tu as l’habitude de travailler.

Aujourd’hui, il existe différentes expertises gravitant autour des réseaux sociaux. Certains pros sont chargés de manager le trafic afin de garantir un potentiel d’acquisition clients. D’autres sont chargés spécialisés en marketing d’influence, un gros vecteur de notoriété pour les marques.

À LIRE AUSSI : 7 options pour travailler sur les réseaux sociaux.

23 – Où travailler en tant que community manager freelance ?

freelances dans un coworking

Le gros avantage en tant que freelance, c’est que tu peux travailler de chez toi, ou de n’importe où, si tu souhaites voyager. C’est un métier très prisé par les « digital nomads » qui ont envie de concilier vie personnelle et vie professionnelle.

Mais si tu apprécies le fait d’être entouré dans ton environnement professionnel : c’est possible aussi. Dans ce cas, tu peux t’orienter vers des espaces de coworking. Ces lieux collaboratifs correspondent à un véritable phénomène qui transforme les façons de travailler.

Sache que certains coworkings sont spécialisés dans les métiers du digital, ou encore dans l’entrepreneuriat. C’est donc une bonne façon de faire des rencontres professionnelles intéressantes pour développer ton business.

24 – Quels sont les outils indispensables du community manager ?

Chaque semaine, son lot d’outils révolutionnaires pour les métiers du Web. OK, mais a-t-on besoin de tout ? Quels sont les outils réellement indispensables dans le quotidien d’un community manager ?

Les 4 outils indispensables pour le community manager :

1. Un logiciel pour créer tes contenus avec (Canva fait parfaitement l’affaire) ;
2. Un outil pour programmer  (Creator Studio : mon outil champion) ;
3. Un logiciel de montage (Filmora : le bon rapport qualité/prix) ;
4. Un outil en ligne pour le sous-titrage vidéo (Kapwing : la base).

25 – Comment éviter le burn out en tant que CM freelance ?

Le métier de CM s’est étoffé ces dernières années. On en demande beaucoup à ce professionnel, qui se retrouve à devoir faire le grand écart entre le contenu planifié et les imprévus. Car ils sont nombreux, entre les problèmes techniques et la modération des réseaux. 

Le volet freelance ajoute à cette charge mentale la capacité à gérer sa propre activité, dans des journées qui ne font que 24 heures ! Pour autant, des solutions existent. La première consiste à bien s’organiser. L’idée est de réaliser un maximum de tâches en début de mois (planning éditorial, créations de contenus). Tout ce qui peut être anticipé doit l’être.

Cette organisation a l’avantage de prévoir tes semaines à l’avance, en fonction de tes clients. La 2e solution : s’entourer de prestataires afin de déléguer les tâches rébarbatives. 

26 – Quelles perspectives pour évoluer en tant que CM ?

Certains adorent leur job et resteront CM un bon bout de temps, tandis que d’autres auront envie de découvrir de nouveaux horizons dans le domaine. Si tel est ton cas, différents métiers offrent des perspectives sympas, en fonction de ton profil.

2 idées de job à faire après le métier de CM !

Coach réseaux sociaux : ce métier s’adresse aux pros qui souhaitent continuer le community management, en approfondissant le côté consulting auprès des clients. L’objectif est de coacher des clients qui souhaitent gérer leurs réseaux sociaux eux-mêmes. Ces accompagnements prennent la forme d’un programme et durent quelques mois. 

Formateur sur un réseau social : si tu as envie de transmettre toutes les fonctionnalités d’une plateforme auprès de la communauté des CM, alors ce job est fait pour toi. Tu peux monter ton programme via ton site et le vendre en ligne.

27 – Quel est le futur du métier de community manager freelance ?

Le métier de CM a de l’avenir, et de nombreuses entreprises auront toujours besoin de faire appel à des freelances. D’ailleurs, le freelancing est un mode de travail qui prend de l’ampleur, venant concurrencer le traditionnel salariat et ses contraintes.

Le community management est la porte d’entrée vers les métiers des réseaux sociaux. L’existence des marques et des entreprises sur les plateformes n’est plus anecdotique. La stratégie social média se construit pour un client, au même titre que sa stratégie commerciale.

Les 3 évolutions majeures du métier de CM à l’avenir :

1. Les connaissances en référencement naturel, pour conseiller les clients sur leur système et produire des contenus optimisés ;
2. Les soft skills pour savoir gérer une communication de crise, pour répondre à des besoins croissants en e-réputation ;
3. Le rôle commercial du CM freelance, en tant que générateur de leads.

28 – Comment continuer dans le métier de community manager ?

le métier de community manager

Même si tu ne te destines pas à d’autres perspectives professionnelles que celles de community manager, l’activité spécifique de freelance est un système dynamique. Le développement de l’activité est ponctué par une série de périodes charnières au cours desquelles on se pose des questions pour la suite.

Au début, on est pris par le fait de trouver des clients. Mais une fois que ça roule, comment procéder ? Doit-on refuser des clients ou continuer à répondre aux sollicitations ? C’est peut-être le moment de réfléchir à des partenariats avec d’autres freelances pour répondre à des besoins plus complets pour servir la stratégie digitale des clients. 

Si tu as démarré les délégations de tâches à des prestataires de confiance, un passage à un montage d’agence pourrait être une suite logique. Bref, peu importe la voie que tu prendras : le métier est passionnant par son contenu, mais aussi par les perspectives qu’il offre.

29 – C’est quoi, un bon community manager freelance ?

Comme tu as pu le constater dans tout ce que l’on a abordé ensemble, le CM freelance est une sorte de double métier. Comme n’importe quel entrepreneur, il dispose d’un cœur de métier, mais qui ne pourra se développer que si son entreprise sert son projet.

Je ne vais pas te livrer ici les secrets du bon CM, car je ne les connais pas. Par-contre, la réussite d’un CM freelance passe par des actions qui ont un sens commun.

Que faut-il pour réussir en tant que CM freelance ?

Des compétences techniques : maîtriser les réseaux sociaux, connaître les bases du marketing digital.

Des compétences entrepreneuriales : savoir définir un projet, en fonction d’une cible, et la décliner en offre pour vendre sa solution
.

30 – Comment être épanoui dans le métier de CM freelance ?

Le métier de CM freelance en demande beaucoup à qui l’exerce, mais il peut offrir beaucoup en retour. Rares sont les professions qui allient aussi bien le côté humain et le côté business.

En exerçant en freelance, le CM a l’occasion de travailler avec une multitude de clients différents, dans des secteurs variés, ce qui est hyper enrichissant. Rares sont les journées où tu n’apprendras rien !

Quant aux réseaux sociaux : c’est toute la comédie humaine à portée de clic. Tantôt le bar du coin pour discuter entre amis, tantôt musée virtuel avec des visuels recherchés, tantôt salle de spectacle pour se divertir : les réseaux sociaux sont un concentré de l’humanité.

Ce qu’il faut retenir

Voilà, je t’ai tout dit : le métier de community manager freelance n’a plus de secret pour toi. À travers cet article, j’ai voulu te donner toutes les clés pour tracer les contours du métier.

Et comme il n’était pas possible d’être exhaustif, tu as 3 solutions devant toi :

  1. Visionner mes vidéos sur ma chaîne Youtube ;
  2. Lire les articles de mon blog ;
  3. Me retrouver sur les réseaux sociaux.

La panoplie ultime pour lancer ton activité de CM freelance, et en vivre !

À très vite,

Aurélien

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